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Le Québec, autrement dit

Territoire de rencontres

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Déambulez dans un grand parc et découvrez, à travers une diversité de regards, les événements significatifs qui ont forgé le Québec tant du point de vue de son territoire, de son occupation, de ses luttes et de son évolution que de celui des enjeux contemporains auxquels il fait face.

Cette exposition sur le Québec s’articule autour du thème de la rencontre : rencontres du passé qui éclairent le présent et l’avenir ; rencontres entre les peuples, les nations et les communautés, les individus, les croyances et les mentalités ; rencontres houleuses, identitaires, festives, douloureuses, solidaires ; rencontres espérées, impromptues, célébrées ou occultées…

Autant d’occasions d’apprendre, de se questionner, de susciter la surprise et l’émerveillement!

Une exposition conçue et réalisée par le Musée de la civilisation avec le soutien financier du ministère de la Culture et des Communications. Le Québec, autrement dit est présentée en collaboration avec la Commission de la capitale nationale du Québec et Aliments du Québec.

Logos des partenaires de l'exposition le Québec, autrement dit : Le Gouvernement du Québec, Aliments du Québec et La Commission de la capitale nationale

Cette exposition de référence sur le Québec contient 1 300 objets, porteurs de récits et témoins de rencontres d’hier à aujourd’hui.

Parmi ceux-ci, 930 sont reliés à une vignette numérique qui documente davantage l’objet et son environnement.

Une nouvelle façon d’en apprendre plus sur le patrimoine québécois.

Pavillons de l’exposition 

Couvrant une superficie de 1 570 m2, soit la plus grande jamais consacrée à une exposition du Musée de la civilisation, Le Québec, autrement dit est composée de six pavillons portant chacun un thème spécifique :

Le Québec est un territoire vivant, grandiose, et porteur d’histoires. Ce premier pavillon explore les différents peuples qui, au fil des millénaires, habitent ses régions et s’y rencontrent au gré de leurs déplacements.

Le site archéologique Cartier-Roberval, la rencontre de deux mondes

Le pavillon Habiter accueille également Le site archéologique Cartier-Roberval, la rencontre de deux mondes, présenté par la Commission de la capitale nationale du Québec.

Ce segment d’exposition témoigne de la première tentative de colonisation française sur le promontoire de Cap-Rouge, en 1541.

Une expérience immersive et des artefacts trouvés sur le site archéologique transportent le public dans cette époque fascinante, pour mettre en lumière les premières rencontres entre les Européens et les Autochtones sur le territoire qui forme aujourd’hui le Québec.

Les quatre saisons – cinq ou six selon la perspective autochtone – rythment les rencontres familiales, amicales, amoureuses, sportives, religieuses ou scolaires.

Ce pavillon met en scène le mouvement cyclique des saisons, notamment par une projection envoutante où s’enchaînent des paysages saisonniers.

Des foires autochtones au dépanneur en passant par le magasin général, le supermarché, les usines et les entreprises, ce pavillon aborde les rencontres qui se déroulent en travaillant, en troquant, en négociant, en dépensant.

Les moyens d’échange utilisés pour obtenir des biens ou des services reflètent l’histoire économique, géographique, sociale et politique des populations, au fil du temps.

L’histoire de l’aide reflète l’évolution des valeurs et les changements sociaux au Québec.

Le pavillon Partager met en scène un lieu puissant d’entraide et de solidarité au Québec : la maison. Refuge de la vie intime, familiale et collective, les pièces qui la compose forment un espace d’échange et d’entraide pour les membres de la famille… au sens bien large du terme!

Un grand bouleau jaune, arbre emblématique du Québec et symbole par excellence du partage, occupe aussi une place centrale à l’intérieur de ce pavillon.

En entrant dans ce pavillon, le public est immédiatement happé par des images d’archives d’une manifestation comme si on y était.

Revendications autochtones, revendications coloniales, droit de vote des femmes, droit de grève, on se rencontre par solidarité pour provoquer un changement dans la société.

Pour y arriver, on utilise des moyens pacifistes comme des marches ou l’art visuel, mais parfois, le vandalisme et la désobéissance civile, voire le recours aux armes, s’invitent au débat.

Bien des gens nés ici se reconnaissent dans l’identité québécoise ou canadienne, voire dans les deux, alors que d’autres se définissent d’abord comme membres des Premiers Peuples, ou comme citoyens du monde!

L’identité se construit selon une foule de facteurs comme le genre, la famille, la culture, le quartier de résidence, et qui s’inscrit toujours dans une période et un contexte déterminés. Ce dernier pavillon s’articule autour de cette notion.

Habiter – © Musée de la civilisation, Marie-Josée Marcotte – Icône
Habiter – © Musée de la civilisation, Marie-Josée Marcotte – Icône
Habiter – © Musée de la civilisation, Marie-Josée Marcotte – Icône
Habiter – © Musée de la civilisation, Marie-Josée Marcotte – Icône
Vivre – © Musée de la civilisation, Marie-Josée Marcotte – Icône
Échanger – © Musée de la civilisation, Marie-Josée Marcotte – Icône
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Revendiquer – © Musée de la civilisation, Marie-Josée Marcotte – Icône
Revendiquer – © Musée de la civilisation, Marie-Josée Marcotte – Icône
Appartenir – © Musée de la civilisation, Marie-Josée Marcotte – Icône
Ligne du temps – © Musée de la civilisation, Marie-Josée Marcotte – Icône
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